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FORCE MARINE

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16 janvier 2022

Jean-Lin Lacapelle à Dole le 22 janvier 2O22

Galette des rois 2022 RN39

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16 janvier 2022

Emmanuel Macron comprend-il quelque chose à l’outre-mer ?

Macron Nouvelle-Calédonie mai 2018 1

Tribune libre d'André Rougé, Député européen du Rassemblement National du 16 janvier 2022 sur Boulevard Voltaire

Le Président Macron, qui s’est déjà illustré en parlant d’une femme « expatriée en Guadeloupe » ou de « l’île de Guyane », a décidément bien du mal à comprendre la France d’outre-mer en général et les Antilles-Guyane en particulier. Parmi les Français qu’il compte « emmerder » figurent 75 % de Guyanais et 65 % de Guadeloupéens et Martiniquais.

Qui n’a pas lu Texaco, chef d’œuvre littéraire de Patrick Chamoiseau, lauréat du Goncourt 1992, ses maîtres Aimé Césaire, Édouard Glissant ou encore Raphaël Confiant et Daniel Maximin, ne peut comprendre les Antilles et l’état d’esprit des Antillais.

Leur histoire est celle du commerce triangulaire, de l’esclavage, son abolition n’a pas deux siècles et la relative récence de l’oppression reste souvent présente à l’esprit des familles antillaises.

Cela n’a rien ôté à leur patriotisme et ne les a pas empêchés de verser leur sang dans les tranchées, dans la « poche de Royan », à Ðiện Biên Phủ ou dans les Aurès.

Ayant déjà du mal à comprendre les Français de métropole en proie à des fins de mois difficiles, il est compliqué pour Emmanuel Macron d’entendre le désespoir de Français vivant à 7.000 kilomètres de son palais de l’Élysée. Il n’a pas voulu entendre parler des algues sargasses et a fait se défausser l’État de ses responsabilités sur les collectivités locales, là où le gouvernement de l’époque avait versé 300 millions pour les algues vertes de Bretagne. Recevant les  ultramarins à l’Élysée après la crise des gilets jaunes (que Gérald Darmanin qualifiait de « peste brune »), le Président niait le caractère cancérigène de la chlordécone, un scandale pour lequel l’exécutif n’a, à ce jour, rien proposé. Le gouvernement a laissé, et laisse encore, un tiers de la population des Antilles sans accès à l’eau courante au prétexte qu’il s’agit du ressort des communes. Quelle grande nation laisserait, en 2021, et en pleine pandémie, une partie de sa population dans l’incapacité d’obtenir l’eau du robinet, et d’effectuer les gestes barrières, sous de fallacieux prétextes juridiques ?

Avec un mois et demi de retard, en urgence et sans discernement, le gouvernement a imposé la vaccination obligatoire et le passe sanitaire. Sous la menace et la contrainte, le personnel soignant, les mêmes que l’on célébrait le soir à vingt heures durant les vagues précédentes, s’est vu dans l’obligation de se faire vacciner sous peine de perdre son emploi au moment où le Premier ministre deux fois vacciné faisait la démonstration de l’absurdité d’une telle mesure en attrapant le virus ! Pourquoi le gouvernement n’a-t-il pas proposé de faire tester les soignants à leur arrivée aux CHU de Pointe-à-Pitre ou de Fort-de-France, là où tous les moyens nécessaires sont à disposition, ce qui rassurerait immédiatement les soignants et la population. Il a préféré la manière forte contre des médecins et des infirmiers furieux de se retrouver, injustement, sanctionnés pour avoir refusé une mesure qu’ils jugent inepte. Tout comme l’absurde logique d’interdiction de prescrire aux médecins… Pourquoi, lors des événements récents, le ministre Lecornu a-t-il refusé de se rendre immédiatement sur place, entamer dialogue et négociations, plutôt que de rester à Vernon ou s’occuper de sa future carrière de directeur de campagne du candidat Macron.

Une telle défiance à l’égard de l’État, conjuguée à un coût de la vie bien au-dessus de celui de la métropole, aux 90 % de jeunes vivant sous le seuil de pauvreté, à un chômage avoisinant les 25 %, on comprend que l’explosion sociale était prévisible. Cela n’excuse en rien les  relevant de la correctionnelle et même de la cour d’assises. Souvent perpétrées par une minorité agissante d’extrémistes indépendantistes et africanistes disciples de l’agitateur béninois Kémi Séba venu proférer sa haine du Blanc et de la France dans les départements français de la Caraïbe. Le gouvernement aurait été mieux inspiré de faire preuve de fermeté et d’intransigeance en amont par la dissolution de ces mouvements d’activistes.

Même si la situation est, momentanément, plus calme, rien n’est réglé et le rideau de fumée statutaire de l’autonomie ne réglera rien, non plus à la  qui s’est prononcée deux fois, ces dernières années, pour le maintien de son statut de région monodépartementale. Méconnaissance, abandon, passivité, mépris et désinvolture conduisent aujourd’hui le Président Macron, qui n’a d’ailleurs pas cru bon de s’engager en faveur de la Nouvelle-Calédonie française comme l’y oblige notre Constitution au titre de la garantie de l’intégrité du territoire, à ouvrir la boîte de Pandore statutaire. « Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs », disait Clemenceau. Macron préfère, lui, s’en débarrasser en jouant au pompier pyromane.

16 janvier 2022

Le saccage de la basilique Saint-Denis illustre l’incompétence du gouvernement...

Marine Elysée juin 2016

Communiqué de Marine Le Pen du 9 janvier 2022

Ce mercredi 5 janvier, un homme présenté comme « un marginal » a pénétré dans la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale de l’Ancien Régime, pour saccager plusieurs statues et vitrines à la barre de fer.

Je suis profondément indignée par ces actes barbares, commis dans un des monuments les plus sacrés de l’Histoire de France et lieu de culte catholique. Fort heureusement, l’individu n’aurait pas attaqué de fidèles, de visiteurs ou de membres du clergé. Il a pu être interpellé par les forces de l’ordre dont je salue le travail.

Néanmoins, il a fallu plusieurs jours pour que ce saccage soit connu et établi par la presse suite à des photos circulant sur les réseaux sociaux. Il n’a donné lieu à aucune réaction publique du gouvernement. Pourquoi un tel silence ?

Depuis maintenant plusieurs années, les lieux de culte catholiques sont les cibles de vols, de dégradations et, hélas, d’incendies criminels et d’actes terroristes. Alors que la basilique de Saint-Denis est l’un des lieux les plus symboliques et donc, les plus exposés, cette attaque démontre qu’elle n’est pas protégée comme il se doit.

En réalité, le gouvernement sécurise quelques jours les lieux de culte chrétiens quand notre pays subit une tragédie mais n’assure pas la sécurité sur le long terme alors que les risques sont malheureusement toujours aussi élevés.

Présidente de la République, je conduirai un plan d’urgence avec les moyens humains, matériels et technologiques nécessaires pour assurer la sûreté et la sécurité des joyaux de notre patrimoine, nos monuments et nos lieux de culte, en particulier les lieux les plus exposés par leur puissance symbolique comme la basilique Saint-Denis.

Il est temps d’assurer l’entière sécurité de nos joyaux historiques et des Français catholiques.

16 janvier 2022

Marine Le Pen baissera la facture d'électricité des Français | M La France | Bretagne le 14/01/2022

16 janvier 2022

Brûler des voitures pour la Saint-Sylvestre n’est pas une tradition française !

Voiture brulée 2020

Tribune libre de Dominique Bilde, député Rassemblement National au Parlement UE du 5 janvier 2022

Quel est le point commun entre le réveillon de la Saint-Sylvestre, la fête nationale du 14 juillet et une victoire de l’équipe de football d’Algérie ?

Réponse : des voitures y sont à chaque fois brûlées !

Phénomène apparu dans les années 90, et qui ne cesse de s’amplifier depuis plusieurs années, ces actes de vandalisme semblent désormais faire partie du paysage. Le terme de « pompier-pyromane » pour cette caste politique qui n’a rien fait pour empêcher le pire, n’a sans aucun doute jamais aussi bien porté son nom !

Les Français se réveillent depuis plusieurs années avec le nombre de carcasses encore fumantes, après avoir fait le décompte des derniers instants de l’année précédente jusqu’à minuit pour fêter celle qui s’annonce enfin !

On n’ose pas écouter les responsables politiques de gauche qui auront bien besoin d’une année supplémentaire pour encore chercher des explications convenant à leur idéologie. Leurs cabrioles pour se voiler la face auront le temps de devenir une discipline à part entière aux Jeux olympiques avant de constituer une avancée intéressante pour décrire les maux dont souffre la France.

Il est presque étonnant, d’ailleurs qu’aucun élu de la France Insoumise n’ait encore osé faire le parallèle avec la Commune de Paris pour justifier de tels agissements : ils doivent sans doute être en train de tourner leur langue sept fois dans leur bouche pour éviter d’être encore plus ridicules qu’ils ne le sont généralement !

Cette année, il faut bien admettre que le nombre de voitures brûlées n’atteint « que » les 874 selon le ministre de l’Intérieur alors qu’un pic historique avait été atteint en 2019 où elles furent près de 1457 à disparaître dans les flammes. « La nuit de la Saint-Sylvestre a connu une baisse des violences grâce au dispositif des forces de l’ordre » déclarait-il d’ailleurs avec satisfaction sur son compte Twitter.

Un chiffre qui, contrairement à lui, nous inquiète. Son dispositif n’empêche le désastre qu’à la marge puisque depuis 2008, aucun gouvernement n’arrive à passer sous la barre des 800 voitures.  C’est par ailleurs deux fois plus qu’en 2005, date des terribles émeutes qui secouèrent notre pays : nous étions les seuls à dire cette année-là que la flambée de violence n’était rien à côté de ce qui attendait la France si sa politique migratoire ne changeait pas !

Nous avions malheureusement raison.

Surtout, nous refusons de devoir mettre la police sur le pied de guerre chaque année pour pallier les effets délétères de « la culture racaille » qui se répand désormais de manière invasive sur l’ensemble du territoire.

Arrêtons de nous cacher derrière notre petit doigt : les automobiles en flammes ne font pas partie de la culture française.

Nous refusons de déplorer ces actes de destruction sans agir à la racine du problème.

L’élection présidentielle approche.

 

La tolérance zéro, c’est pour bientôt ! 

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16 janvier 2022

Marine Le Pen au 20 h de TF1 le 16 janvier 2022

20h TF1 16 janvier 2022

16 janvier 2022

Expulsion des détenus étrangers : le Danemark et le Royaume-Uni haussent le ton

 

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Communiqué de presse de Dominique Bilde, dépué UE du Rassemblement National du 5 janvier 2022

Un « dangereux précédent ». C’est ainsi que le quotidien La Libre Belgique qualifiait, en décembre dernier, la lettre d’intention signée par Copenhague et Pristina, s’agissant de la détention, au Kosovo, de prisonniers étrangers, condamnés au Danemark et destinés au renvoi vers leur pays d’origine à l’issue de leur peine.

Il est vrai que l’arrangement ne manque pas d’originalité, puisque ces quelque 300 âmes demeureraient sous le coup du droit danois. Par ailleurs, outre les 210 millions d’euros octroyés au Kosovo pour la location de cellules de prison, les familles de détenus pourraient solliciter une aide financière en vue de visites au parloir…

Quoi qu’il en soit, davantage de volontarisme serait le bienvenu en France, où les étrangers constituaient, en 2020, 23,5 % de la population carcérale, et ce, alors que le taux de densité plafonnait à 113,4 % en 2021. En 2017, 551 prisonniers étaient, par exemple, albanais. Un comble, quand on sait que l’Albanie devrait voir s’ouvrir les portes de l’Union européenne avec le lancement imminent des négociations d’adhésion. Elle aura touché, dans l’intervalle, 1,35 milliard d’euros en fonds de préadhésion depuis 2007.

Une partie de ces subsides ne pourrait-elle pas être allouée pour inciter ce pays à rapatrier, tout du moins, ses propres ressortissants, condamnés dans l’Union européenne ? C’est la question que j’ai posée à la Commission, en notant que le Royaume-Uni a récemment conclu un accord de réadmission de cet acabit – adossé, semble-t-il, à un soutien financier britannique au système carcéral albanais.

Bref, si toutes ces solutions ne sont peut-être pas directement transposables en France, elles tranchent, en tout cas, avec l’attentisme d’Emmanuel Macron, dont le quinquennat aura été marqué par une crise migratoire continue et une impasse manifeste s’agissant des détenus étrangers. Avec l’échéance électorale décisive qui se profile, ces deux thèmes se retrouveront, à n’en pas douter, sur le devant de la scène.

16 janvier 2022

Déclaration du Louvre, le 15 janvier 2022 (texte)

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Discours de Marine Le Pen du 15 javier 2022

C’est ici au Louvre, au Grand Louvre, au cœur de ce joyau architectural, écrin des plus belles réalisations culturelles de l’homme, que j’ai souhaité, en ce début de campagne présidentielle, vous délivrer un message de mobilisation et d’espoir.

De la forteresse médiévale de Philippe Auguste à la résidence royale de la Renaissance, du « Grand Dessein » d’Henri IV aux extensions architecturales des deux empires, ce lieu mythique symbolise, en effet, la continuité de la France dans ce qu’elle a de plus beau, de plus majestueux, de plus harmonieux.

Avec le but louable d’allier l’histoire et la modernité, la République y a avantageusement ajouté cette pyramide de transparence et de lumière.

C’est ici, il y a cinq ans, qu’a commencé un quinquennat qu’Emmanuel Macron présentait comme ambitieux dans ses projets, lumineux dans ses moyens et heureux dans ses choix.

Cinq ans après, la promesse de « cette confiance qui oblige », de cette bienveillance exhibée, de cette réconciliation proclamée, de cette humilité affirmée, de ce respect pour chacun se sont évanouis tout comme l’engagement d’un monde « plus sûr », de « libertés défendues » ou de perspectives de « croissance » pour reprendre les termes du discours de M. Macron ce soir du 7 mai 2017.

Le vent des saisons a emporté ses paroles.

Une gestion absurde des crises incessantes, fréquemment provoquées, souvent entretenues et toujours subies, aura dissipé les dernières illusions : la dégradation de la fonction présidentielle, la trahison des devoirs envers les Français comme la corrosion du gouvernement par le mensonge et la dissimulation ont rapproché encore le pays de l’affaissement et les Français du déclassement.
Il n’y a plus d’autre solution que d’en sortir.

Qu’adviendra-t-il, en effet, de vous, de vos enfants, de notre existence en tant que peuple si la France reste livrée à l’avidité des intérêts privés, à l’ensauvagement des délinquants, à l’injustice des politiques, à la contestation permanente de nos valeurs et de notre mode de vie, au mépris affiché des élites pour le peuple, à l’assaut des mondialistes sur notre souveraineté.

Face aux dangers qui nous guettent et aux défis qui se profilent, je vous appelle à suivre la voie de la raison et du cœur, celle qu’ont suivi nos pères et les pères de nos pères, voie dans laquelle son autorité sera rendue à l’État, sa souveraineté à la Nation, son identité au peuple français.

Je veux rendre aux Français leur pays,
Je veux leur rendre leur sécurité,
Je veux leur rendre leur argent, fruit de leur travail.
Mais aussi, parce que, pour un peuple, rien n’est plus porteur de discorde et de désordre que la mésestime de lui-même, je veux leur rendre leur fierté.

Je veux que dans un grand projet collectif national, la France retrouve le goût d’entreprendre, l’appétit de créer, une volonté renouvelée d’éclairer le monde de sa lumière ; qu’elle retrouve cette passion de l’avenir qui habite notre peuple et sans laquelle il perd sa joie de vivre et son énergie vitale.

Le temps venu, au moment des grandes décisions, soyez sûrs que ma volonté ne fléchira pas, que ma main ne tremblera pas et que je serai digne des responsabilités que vous m’aurez confiées.
Il reste trois mois, n’attendez pas l’élection, faites-la !

Pour fermer définitivement la parenthèse, ouverte ici, d’un macronisme toxique pour le pays, j’ai besoin de vous à mes côtés.

J’ai besoin de vous pour reprendre, ensemble, notre destin en main.

Vive la République, vive la France.

16 janvier 2022

Déclaration du Louvre, le 15 janvier 2022

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